DOMINE QUANDO VENERIS
O Seigneur, quand vous serez venu pour juger la terre, où me cacherai-je pour fuir le regard de votre courroux ? Puis que j'ai tant pêché dans ma vie. Les fautes que j'ai commises m'épouvantent, et je suis devant vous couvert de confusion : ne me condamnez pas quand vous viendrez pour le jugement. Puisque*. Donnez leur le repos éternel, ô Seigneur, et que pour eux brille la lumière qui n'a pas de coucher. |