Larmes, adapté de l'original par Raphaël Passaquet

Larmes, larmes, larmes,
Dans la nuit, dans la solitude,
Larmes, goutte à goutte, elles tombent sur le blanc rivage,
Et sont bues par le sable.
Larmes, pas une étoile ne luit, tout sombre et désolé.
Pleurs, sanglots, détresses qui s'étranglent de cris fous.
O tempête incarnée qui grondes, et follement cours au long de la baie,
Poussée par le vent.
Océan déchaîné de larmes, larmes, larmes.

 



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